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Fonction Pour étudier les sons. |
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Description La hauteur de la flamme change avec le son. Ce modèle de manomètre à flamme est soutenu par un coulant avec vis de pression, qui permet de la fixer à hauteur variable par rapport au miroir tournant, pour que l’image virtuelle soit visible de n’importe quelle position. La capsule est formée de deux calottes hémisphériques en laiton, tenues ensemble par cinq vis et formant deux chambres séparées par une mince plaque de mica. Si on veut avoir une plus grande sensibilité on peut substituer au mica une feuille de gomme ou de celluloïd. Avec un tube de verre de longueur convenable et soutenu par le même pied, on peut transformer l’appareil en flamme sonore ou défendre la flamme des perturbations extérieures. | |||
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Fonction Pour montrer les modes de vibration d’une plaque. |
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Description Il est formé d’un étau rigide que l’on peut fixer à une table. Les plaques de verre ou de laiton (rondes au carrées), sur lesquelles on veut produire les figures de Chladni, sont fixées à l’étau dans leur centre, entre deux bourrelets de fibre. On saupoudre la plaque avec de la limaille de liège et on frotte la plaque sur le bord avec l’archet d’un violon. La plaque produit un son et on peut observer les figures nodales. On peut modifier ces lignes en touchant légèrement le bord de la plaque et en changeant le point où on la frotte. | |||
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Fonction Pour l’observation des flammes vibrantes. |
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Description Les quatre miroirs plans sont soutenus par un châssis prismatique en bois d’acajou, tournant sur son axe, et qui termine avec un cône normal pour l’appareil de rotation. Les miroirs sont fixés avec quatre bandes de laiton fixées avec des vis. Pour l’observation des images virtuelles des flammes vibrantes on n'a pas besoin d’une grande vitesse de rotation, et dans certains cas il suffit d’une rotation faite à la main. Si le miroir est très rapproché, il convient de défendre la flamme des courants d’air causés par le mouvement du miroir, avec une plaque de verre. | |||
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Fonction Elles émettent des sons en accord entre eux. |
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Description Cet appareil aussi est un accessoire de l’appareil de rotation. Il s’agit de quatre disques avec des dentures isocèles à pointe au nombre de 80, 60, 50, 40, assemblés sur le même axe qui termine avec un cône. Si les roues tournent avec un mouvement uniforme, en approchant successivement aux dentures une carte de visite on obtient sur celle-ci des vibrations proportionnelles aux nombres 8, 6, 5, 4 et les sons correspondants donnent un accord parfait. A noter qu’avec l’appareil à main il est impossible de maintenir le mouvement uniforme indispensable pour la bonne réussite de l’expérience. | |||
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Fonction Si la vitesse est constante on obtient l’accord parfait entre les sons émis. |
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Description Disque en aluminium avec quatre séries de trous au nombre de 80, 60, 50, 40, correspondants à l’accord parfait. Une fois appliquée la sirène à l’axe de l’appareil de rotation, on la met en mouvement avec une vitesse constante et on lance contre elle un puissant jet d’air. | |||
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Fonction On peut obtenir des sons de différentes fréquences. |
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Description Modèle avec compteur de tours, qui part et s’arrête avec déclenchement automatique. Pour maintenir constante la hauteur du son, il faut disposer d’une soufflerie avec régulateur de pression. Le nombre de vibrations complètes, qui correspond au son émis, est donné par le produit du nombre de trous du disque avec le nombre de tours, divisé par la durée du son en secondes. | |||
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Fonction On peur obtenir des sons de différentes fréquences. |
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Description La sirène est formée d’un disque avec tuyères qui en tournant provoquent l’émission de sons d’autant plus aigus que la vitesse de rotation est plus grande. Il peut être appliqué à l’appareil de rotation à travers un pivot soudé au disque. | |||
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Fonction Interférence entre les ondes sonores. |
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Description Les deux tuyaux sont placés verticalement, et celui de longueur variable est confié à une coulisse avec échelle de celluloïd. Le mouvement est très doux et silencieux, ce qui est très important pour les expériences d’audition biauriculaires. Les accessoires annexes (deux raccords de gomme et deux tubes à trois voies) permettent de modifier rapidement l’appareil pour les différentes expériences d’interférence. Pour les expériences d’audition biauriculaire, dans lesquelles on obtient l’illusion acoustiquesp de la provenance virtuelle du son, en modifiant la longueur du chemin parcouru par les deux ondes qui arrivent séparément aux deux oreilles, il suffit de produire à l’embouchure commune des deux tubes un son ou encore mieux, un bruit avec très peu de vibrations, comme celui qu’on peut obtenir en soufflant avec la bouche en direction perpendiculaire à l’embouchure ou avec le diapason. Avec des sons aigus l’expérience ne réussit pas bien. | |||
