Fonction Ils émettent des sons accordés. |
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Description Ces morceaux de bois, suspendus sur des bottes de quelques brins de paille, nous donnent l’instrument musical connu comme xylophone. Plus facilement on les utilise en les laissant tomber sur la pointe sur un plancher compact ou sur une table de marbre. |
Fonction Pour montrer que le son émis dépend de la longueur du tuyau. |
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Description Dans le tuyau glisse un piston à section rectangulaire garni de façon à assurer l’étanchéité de l’air. A cause de la relation entre longueur et fréquence, ce tuyau fermé émet une infinité de sons et, en particulier, donne les notes de la gamme naturelle ou tempérée en correspondance des indications indiquées sur la barre du piston. |
Fonction Pour l’étude des ondes sonores stationnaires. |
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Description Le tuyau de bois a une paroi de verre. On met de la limure de liège, de la poudre ou de la semoule fine dans une cuvette avec le fond en papier mince et peu tendu, et on le fait descendre lentement à l’intérieur du tuyau sonore grâce à un fil et à une poulie disposée sur l’extrémité supérieure. Dans les nœuds de vibration la poudre reste en repos, tandis que dans les ventres elle saute et vibre énergiquement. |
Fonction Il émet un son pur, sans harmoniques. |
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Description La caisse de résonance en bois de sapin correspond intérieurement à un quart de la longueur d’onde. Le petit marteau pour l’excitation est circulaire avec le bord en gomme. Des curseurs sont présents pour modifier la hauteur du son et accorder parfaitement les deux diapasons pour la résonance et pour les battements. |
Fonction Pour obtenir un son persistant et constant. |
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Description L’appareil permet de maintenir une corde tendue en vibration ou d’expliquer le fonctionnement des chronographes enregistreurs. Il est alimenté avec courant continu de 4 Volts. |
Fonction Pour l’étude des vibrations d’une corde. |
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Description C’est le type classique de sonomètre, avec la longueur des cordes d’un mètre. La caisse harmonique en acajou, avec la table supérieure et le fond en sapin, a une longueur de 1,30 mètres et est soutenue par des pieds métalliques avec une vis de niveau. La tension des cordes est obtenue avec trois longues vis en fer avec un dé à ailettes. On peut aussi l’obtenir en faisant passer la corde sur la gueule de la poulie de laiton, et en appliquant sur le plateau les poids de plomb annexés à l’appareil. Sur la table harmonique sont fixées trois échelles de celluloïd blanc; la première est divisée en millimètres sur une longueur d’un mètre, la deuxième porte les divisions correspondant à la longueur qu’il faut donner à la corde pour obtenir la gamme naturelle, la troisième porte les divisions pour la gamme tempérée. Les trois chevalets sont appliqués sur les échelles saillantes, qui leur servent de guide. Pour déterminer le nombre de vibrations correspondantes à un son, on porte la corde à l’unisson avec un diapason connu ; on fait glisser le chevalet jusqu’à ce que la corde reproduise le son en examen et on applique la loi: le nombre de vibrations d’une corde à tension constante est en raison inverse de sa longueur. |
Fonction Ils entrent en résonance aux fréquences appropriées. |
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Description Il s’agit de tuyaux en carton tarés selon la gamme naturelle des physiciens (qui a comme son fondamental le do1 64 hertz). Ils répondent aux onze harmoniques comprises entre le do2 (128) et le sol6 (768). La septième et la onzième de ces harmoniques ne correspondent pas à des notes musicales bien définies : l’une (448 hertz) est proche du la3 dièse (445) et l’autre (704 Hertz) est proche du fa4 dièse. |