Ecole Université (1), Spano (2) |
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Fonction Pour la déduction des lois sur les actions entre pôles magnétiques et entre charges électriques. | |||
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Description La boite cylindrique, complètement en verre, est posée sur une base circulaire d’acajou avec des pieds en laiton avec vis calantes. Elle porte à mi-hauteur une division en degrés bien visible à distance. Le couvercle est un disque de verre simplement posé sur la boite et guidé par trois rouleaux d’ébonite. Du centre du couvercle s’élève un tuyau de verre, dont le sommet gradué tourne à friction. L’isolement de la suspension métallique du èquipage mobile est donné par la colonne de verre et par un cylindre d’ébonite traversé par un bloc de soufre. La hauteur du cadre peut être réglée, parce que l’attache de la suspension est confiée à une barre glissant le long d’une coulisse soutenue par le cylindre de soufre. Comme accessoires de l’appareil on trouve:
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Ecole Université |
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Fonction Instrument de mesure de la charge électrique. | |||
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Description Il est formé d’une petit pendule fait d’une tige de matériel isolant qui termine avec une partie métallique. A la tige est suspendue, par un fil de soie, une petite boule de sureau. En mettant la partie métallique en contact avec un corps chargé la petite boule subit une répulsion électrostatique et elle est repoussée. Sur le quadrant placé sur la tige on peut lire la déviation angulaire qui est liée à l’intensité de la charge. |
Ecole Université |
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Fonction Instrument de mesure de la charge électrique. | |||
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Description L’instrument est placé à l’intérieur d’un récipient cylindrique en laiton, avec quatre petites fenêtres en correspondance des quadrants et une petite fenêtre circulaire en correspondance du miroir. Du récipient, soutenu par trois vis de niveau, s’élève un tuyau de laiton à l’extrémité duquel est fixé un fil de soie d’où pend une aiguille en forme de 8. L’aiguille peut tourner à l’intérieur d’une boite cylindrique divisée par des tiges de matériel isolant en quatre quadrants ancrés à la partie supérieure du récipient. Les quadrants opposés sont joints entre eux par des fils conducteurs. Chaque couple est joint à un serre-fil placé au dessus du récipient. De la partie inférieure de l’aiguille part un fil de platine qui termine avec deux fils du même métal soudés transversalement pour former une croix de Lorraine. L’extrémité du fil pèche dans un bassin qui contient de l’acide concentré. Ce fil sert soit pour amortir les oscillations de l’aiguille, soit pour unir l’aiguille, à travers la solution électrolytique, à un autre serre-fil placé sur la partie supérieure du récipient et d’où part un autre fil qui pèche dans le bassin qui contient l’acide. A mi-hauteur du fil de platine est soudé un miroir utilisé pour réfléchir un rayon de lumière sur une échelle graduée, de façon à obtenir une amplification de la rotation. Le potentiel inconnu de l’aiguille est mesuré sur la base de la rotation qu’elle subit quand les quadrants sont unis à des potentiels connus (les pôles d’une pile). L’aiguille tourne jusqu’à que le couple dû à l’interaction électrostatique soit balancé par la torsion du fil. |
Ecole Université (1), Spano (2) |
(2) | ||
Fonction Instrument de mesure de la charge électrique. | |||
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Description L’isolement du groupe électrométrique est en ébonite et en soufre. La caisse cylindrique de zinc peut être fermée par deux fonds de zinc, qui laissent seulement une petite ouverture en correspondance de l’échelle. Le trépied de base porte un serre-fils pour la mise à la terre de la caisse et des vis de niveau. Comme accessoire on trouve un plateau métallique que l’on peut mettre à la place de la sphère, et un deuxième plateau avec poignée isolante et un disque de verre verni, pour transformer l’instrument en un électroscope condensateur. |
Ecole Azuni |
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Fonction Instrument de mesure de la charge électrique. | |||
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Description Sur une boite en bois est placée une ampoule de verre. Une tige métallique qui termine avec deux feuilles d’or arrive à l’intérieur de l’ampoule à travers le cou. Sur l’autre extrémité on place une pommette, une pointe ou le plateau d’un condensateur. A l’intérieur, un index indique la divergence des feuilles. En mettant en contact avec la pommette un corps chargé, les feuilles se chargeront du même signe et divergeront. Les feuilles divergeront aussi si la pommette est chargée par induction. En effet elles se chargeront toutes les deux du signe opposé à celui de la pommette. |
Ecole Spano (1), Pellegrini (2), Université(3) |
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Fonction Instrument de mesure de la charge électrique. | |||
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Description Il peut être utilisé aussi comme électromètre. La caisse métallique est isolée, mais elle est munie d’un crochet en bas pour la mise à la terre. Les deux feuilles d’aluminium sont soutenues par une lame brillante, isolée avec un gros manchon d’ébonite et avec un cylindre de soufre. Les deux plans parallèles glissants protégent parfaitement les feuilles et servent à modifier la sensibilité de l’instrument. Pour donner une charge aux feuilles il suffit de frotter le plateau collecteur nickelé avec un plumeau, sans l’arrêter sur le plateau et en tenant la caisse à terre. Si au contraire on veut donner une charge contraire à la précédente, on élimine la communication de la caisse avec le sol, on la frotte avec le plumeau et on touche le plateau nickelé. Pendant cette deuxième opération il ne faut pas frotter les parois en verre avec le plumeau, parce que les feuilles seraient attirées violemment latéralement et elles se briseraient. Le plateau condensateur doit être toujours saisi par le manchon d’ébonite avec lequel termine la tige en verre. L’instrument est fourni avec un disque de verre, à utiliser comme diélectrique, qu’on interpose entre les deux plateaux, pour constituer le condensateur. |
Ecole Spano |
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Fonction Instrument de mesure de la charge électrique. | |||
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Description On peut utiliser ce modèle avec caisse prismatique pour la projection, en ayant l’échelle sur le même plan de la feuille d’aluminium. La caisse d’aluminium est fixée sur une base d’acajou qui a deux pieds d’ébonite et une vis calante. L’instrument est fourni avec une plaque manœuvrable de l’extérieur, qui peut renfermer la feuille contre son soutien et la protéger dans tous les cas. La même plaque, plus ou moins éloignée de la feuille, change la capacité du système et, mise à la terre, transforme l’électroscope en un électromètre de Gaugain. L’électroscope est accompagné d’un plateau condensateur et d’un disque en verre verni. |