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Fonction Pour appliquer à lampes à gaz ou électriques. |
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Description On l’utilise comme source. En cachant seulement en partie la source, le diaphragme cylindrique laisse passer une série de pinceaux lumineux à travers une flèche asymétrique formée de trous percés le long d’une bande de la surface latérale. | |||
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Fonction Source lumineuse pour expériences d’optique. |
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Description Un miroir concave concentre la lumière produite par une ampoule dans un entonnoir qui termine avec un petit trou. L’ensemble est en tôle vernie. | |||
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Fonction Source lumineuse pour expériences d’optique. |
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Description Les charbons sont disposés à angle droit et sont réglables séparément ou en même temps par deux boutons coaxiaux, mis à l’extrémité de la vis qui commande le charbon supérieur. Les porte-charbons peuvent tenir des charbons de 5 a 18 millimètres de diamètre; donc la lampe peut fonctionner avec des courants de trois à vingt ampères, avec courant continu ou alternatif. L’isolement des étaux pour les charbons est obtenu avec une plaque de mica. Le capuchon amovible en tôle de fer présente latéralement une fenêtre fermée par une feuille de mica, qui peut être enfumée simplement avec la flamme d’une allumette pour pouvoir observer la grandeur de l’arc. Le corps de la lampe est soutenu par un tuyau de 14 millimètres, glissant sur la colonne de soutien. La lampe peut donc s’orienter dans toutes les directions. | |||
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Fonction Appareil utilisé pour suivre le chemin du Soleil. |
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Description L’instrument était utilisé pour dévier les rayons du soleil à l’intérieur du cabinet de physique et avoir de cette manière une source de lumière. Modèle complètement en laiton, avec un miroir plan argenté et un miroir noir. La commande se fait de l’intérieur avec une crémaillère pour la rotation sur l’axe horizontal et avec des vis sans fin pour le miroir. A l’instrument est joint un diaphragme avec une fente rectangulaire réglable. | |||
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Fonction Pour mesurer l’intensité lumineuse d’une source. |
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Description Après les décisions du Congrès de Genève, la source «échantillon» plus communément utilisée est celle proposée par Siemens et étudiée par Hefner. Dans celle-ci on brûle l’acétate d’amyle avec une grosse mèche, qui remplit complètement un tuyau en argenton du diamètre intérieur de 8 millimètres et de l’épaisseur de 0,3 mm. La hauteur de la flamme, mesurée au moins dix minutes après l’allumage, doit être de 40 millimètres et on la contrôle par une chambre noire unie à la lampe. Dans ce cas et quand la flamme brûle dans l’air calme et pur, la valeur de la source est de 0,053 unités Violle. | |||
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Fonction Etude de la propagation rectiligne de la lumière et pour les ombres. |
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Description L’appareil comprend : un écran de papier su un châssis de bois avec les pieds qui le soutiennent en hauteur et en longueur; un pied de laiton avec une petite colonne à vis de pression, sur laquelle on peut fixer un disque de métal noirci pour les ombres et les pénombres ; un disque de carton durci avec un petit trou central pour la propagation rectiligne de la lumière et pour la chambre obscure; une tige de métal noirci pour le photomètre de Rumford ; un support à hauteur variable pour trois chandelles disposées selon les pointes d’un triangle équilatère. Pour la propagation rectiligne et pour la chambre obscure on utilise le porte-chandelle, le disque de carton et l’écran. Pour les ombres et les pénombres, on utilise le porte-chandelle, le disque métallique et l’écran. Pour le photomètre de Rumford on utilise la tige métallique, l’écran, une chandelle et un groupe de quatre chandelles. | |||
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Fonction Pour mesurer l’intensité lumineuse. |
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Description Le photomètre de Bunsen est à tache de graisse, avec écran de papier changeable et tournant pour les deux lectures. Il possède un miroir de renvoi pour les deux cotés de l’écran. Une des coulisses est divisée in centimètres avec le zéro au centre. | |||
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Fonction Pour déduire le nombre des images d’un seul objet donné par deux miroirs formant un angle. |
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Description Si n est le nombre des images virtuelles et a est l’angle entre les deux miroirs, on déduit tout de suite que : n= 360/a -1 Les deux miroirs plats, montés sur châssis de laiton tournent à charnière sur un axe d’acier, soutenu par une tige verticale. En faisant glisser l’axe hors de la charnière, les deux miroirs peuvent être fixés verticalement sur la base par quatre boutons de laiton. On obtient ainsi un ensemble de miroirs parallèles avec une succession d’images alignées infinies. Comme objet on a un disque avec un coté rouge et un coté bleu, soutenu par un pied métallique. Ainsi on peut observer la succession des images alternativement colorées en rouge et en bleu. | |||
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Fonction Pour étudier les caractéristiques des miroirs convexes. |
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Description Ces miroirs ont un diamètre de 20 cm. La distance focale de 50 cm est la plus adaptée pour les communes expériences d’optique. La monture est constituée par un anneau de laiton tournant sur un trépied de fonte, avec une colonne de laiton qu’on peut élever et qui tourne sur l’axe vertical. | |||
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Fonction Pour étudier les caractéristiques des miroirs paraboliques. |
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Description Miroir avec monture métallique tournant sur un diamètre horizontal. L’ensemble est soutenu par un robuste châssis prismatique en fonte. | |||
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Description La surface réfléchissante cylindrique est en verre avec une garniture métallique; dimensions 130 x 190 mm. | |||
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Fonction Etudes d’optique géométrique. |
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Description Série de lentilles, diamètre 70 mm, montées sur anneaux tournants sur un diamètre horizontal. Les anneaux sont soutenus par fourches de hauteur variable placées sur une base circulaire. L’ensemble est fait en laiton. Tous les types de lentilles sphériques sont présents;
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Fonction Pour études sur l’otique géométrique. |
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Description La tige supérieure glisse à friction: les deux lentilles peuvent être fixées dans la position convenable par des vis à pression. Le centrage de la lentille est ainsi exécuté rapidement, étant donné qu’on doit le faire seulement pour la hauteur. L’appareil sert pour lentilles de 17 mm jusqu’à 100 mm. | |||
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Fonction Pour étudier la réflexion, la réfraction et la réflexion totale. |
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Description Un cercle vertical de 20 cm de diamètre est divisé, dans les quatre quadrants, de 0 à 90 dégrées, et il est soutenu par un trépied solide. Sur l’axe du cercle peuvent tourner à friction deux alidades indépendantes avec un index qui donne sur le cercle l’angle qu'elles ont par rapport au diamètre vertical. Celui-ci est représenté par une règle qui détermine la perpendiculaire à la surface réfléchissante or réfringente sur le point d’incidence. Deux règles, glissant perpendiculairement sur le diamètre vertical, permettent de lire les sinus des angles. La première alidade, plus longue, supporte un miroir plat tournant, qui sert à diriger un faisceau lumineux à travers la fente rectangulaire d’un diaphragme fixé sous le miroir. La deuxième alidade porte un châssis circulaire avec verre dépoli et trace noire pour recueillir le faisceau réfléchi ou réfracté. Sur le diamètre horizontal on peut fixer un miroir plat ou un bloc semi-cylindrique de verre de grande épaisseur, avec le coté plat vers le haut. Avec le miroir on peut vérifier les lois de la réflexion ; avec le verre semi-cylindrique on vérifie les lois de la réfraction et de la réflexion totale. On peut aussi déterminer avec une approximation suffisante, la valeur de l’angle limite qui correspond à ce verre, et donc l’index de réfraction. | |||
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Fonction Jouet qui peut donner de nouvelles idées pour dessin géométriques. |
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Description Tuyau de carton couvert avec une imitation de peau et garniture de laiton à l’extrémité: la boite qui contient les objets colorés peut tourner sur un de ses axes et les objets sont entre deux verres, l’un desquels est dépoli. Les plaques réfléchissantes sont des verres noirs inclinés à 30 degrés. Toutes les parties sont fixées par des vis et donc démontables. | |||
